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L'histoire des 4 cofondateurs d'Axomove

Axomove n’aurait jamais existé sans ses 4 cofondateurs aux personnalités et parcours divers. Zoom sur la rencontre atypique de ces derniers.

Vous vous connaissiez tous depuis des années : Boris est un ami de lycée de Clément, Pierre-Yves est l’ancien kiné de Boris, Alexandre est le cousin de Clément… Qu’est-ce que vous en ressortez de collaborer avec des personnes que vous connaissez déjà dans la sphère personnelle  ? Avez-vous découvert des faces cachées ?

Boris :  En toute modestie (sourire), c’est moi qui suis à l’origine du projet. J’en ai rapidement parlé à Pierre-Yves puis Clément qui ont tout de suite adhéré. On est vraiment complémentaires sur le savoir-faire. J’ai une certitude, c’est que si on n'est pas à 4, on n'y arrive pas. On a chacun amené nos savoirs faire et savoirs-être. Après bien sûr forcément on a découvert d’autres facettes de chacun, mais globalement cela se passe très bien.

Alex : Team Kaamelott ou team pas Kaamelott (Rires).  C’est super intéressant de travailler tous ensemble. Concernant Boris et Pierre-Yves, à force de se côtoyer sur le projet, ils sont devenus plus que des associés au fil du temps, ce sont aujourd’hui des amis. Pour Clément, qui est mon cousin et avec qui j’avais déjà un très bon feeling, ça m’a confirmé tout le bien que je pensais de lui. 

Pierre-Yves : On a toujours des alliances internes différentes lorsque l’on parle de l’avenir d’Axomove : un coup Alex et moi avons la même manière de voir les choses, une autre fois c'est plutôt Boris ou Clément. C’est vraiment ce qui fait qu’on est complémentaires dans notre manière de penser. Mais il y a toujours une certaine parité. On a appris à se connaître avec les années, et je pense qu’une admiration respective s’est développée entre nous.

Clément : Axomove c’est une histoire familiale et amicale. Pour Alexandre, on se connait depuis tout petits et Boris, c’est un ami de lycée. 

Quelles ont été les plus grandes difficultés rencontrées à Axomove ? 

Pierre-Yves :  Ma première difficulté… (Rires). Le tout premier pitch, où il a fallu garder nos principes. Dès la première réunion, les gens nous ont proposé des solutions contraires à nos valeurs ! Il fallait conserver cette capacité à dire “oui , c'est intéressant, mais on ne va pas faire ça”. Garder le cap quoiqu’il arrive, et ça a été la difficulté majeure. 

Boris : C’est ça. Soit tu passes pour un génie, soit tu passes pour un fou. La vraie difficulté était de convaincre. On a su convaincre les gens les plus réticents, pour être encore là 5 ans après. Faire de l’innovation, à la fois produit et usage , c'est très difficile, d’autant plus dans un environnement réglementé comme la santé et qui se structure petit à petit.

Clément : Pour moi la principale difficulté c’était d’arriver à convaincre et ce à tous les niveaux pour trouver des financements, pour signer nos premiers gros clients, pour recruter nos premiers collaborateurs...Au-delà de constamment devoir faire ses preuves, l'entrepreneuriat, c’est aussi les montagnes russes au quotidien car on alterne entre pics d’excitation et pics de stress.

Alex : “Il ne savait pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.” Ça a été ça tous les jours. Personne ne nous a dit à quel point ça allait être difficile.

Est-ce que vous avez failli tout abandonner ?

Alex : Jamais, personnellement. Je n’ai pas atteint mes limites.

Boris : Jamais.

Clément : On en a quand même parlé (Rires).

De quel projet êtes-vous le plus fier, le plus satisfait ?

Pierre-Yves : C’est de la partie prévention en entreprise, au contact des gens qui ne sont pas en soins, contrairement à mes patients habituels. Le fait de réussir à casser les idées reçues, et ainsi aider les gens à rester en bonne santé, ça me rend fier. Le contact direct avec les gens, je trouve toujours ça super inspirant ! 

Et aussi le fait de créer quelque chose où tu peux prendre ta part dans la société, où tu crées de la richesse, des emplois sans chercher à gagner de l’argent pour gagner de l’argent, mais en faisant quelque chose d’utile, ça c’est beau.

Boris : Le fait de soigner les gens de manière assez simple et naturelle.  On veut permettre aux gens de ne pas se soigner comme on le fait depuis toujours dans le monde occidental, avec des médicaments chimiques. C’est une vraie fierté d’apporter ça par le digital et l’appui de professionnels de santé. Côté plus perso, depuis toujours j’avais envie de monter une boîte : quand j’étais à Décathlon, j'avais 1 000 idées qui fourmillaient. C’est donc une satisfaction personnelle d’avoir créé Axomove, d’y recruter des gens, en les faisant évoluer. Cette histoire humaine est belle.

Clément : Ma fierté, c’est d’avoir créé une entreprise  qui a du sens et pour le coup ce n’est pas galvauder de le dire.. Quand on regarde  nos indicateurs de suivi des utilisateurs, exemple la baisse de leurs douleurs, on a la preuve que notre produit a un réel impact positif sur la santé des gens; quoi de mieux comme satisfaction au quotidien ? C’est un point hyper important et motivant. Côté personnel, c’est aussi le fait de créer une boîte de toutes pièces, faire avancer des gens dans leur vie, c'est assez satisfaisant.

Et pour finir, le petit mot de la fin : avez-vous une anecdote drôle à raconter ?

Clément : Au début d’Axomove, tous les salariés ou stagiaires se blessaient. Notre première salariée s’est fait une grosse entorse et s’est retrouvée en centre de rééducation. On peut donc dire qu’ils ont bien compris l'utilité du produit, en étant littéralement dans la peau du patient. Le plus fou, c'est qu’on a eu quelques cas comme ça qui se sont répétés. Cela montre que les problèmes physiques concernent tout le monde. Notre produit tend à servir à tous, car on peut tous rencontrer des problématiques physiques un jour dans notre vie.

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